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  • Une publication récente montre qu’une infection par le SARS-CoV-2, même passée inaperçue ou asymptomatique, chez des patients psychotiques, peut avoir une influence sur l’activation du rétrovirus humain endogène W (HERV-W), dans un contexte d’inflammation immunitaire innée.
     
  • L’élévation concomitante des taux sériques d’anticorps contre la nucléocapside du SARS-CoV-2, de l’antigène soluble HERV-W ENV et de certaines cytokines pro-inflammatoires caractérise ce sous-groupe de patients psychotiques.
     
  • Cette étude souligne l’urgence ainsi que la possibilité de développer de nouvelles méthodes et approches thérapeutiques pour le traitement des patients psychotiques pour qui la protéine HERV-W ENV est activée, par exemple par des virus chez des individus génétiquement susceptibles.
     
  • L’étude a été publiée dans « Translational Psychiatry », une revue de référence du Nature Publishing Group, résultant d’une collaboration entre l’équipe de recherche de GeNeuro, l’équipe d’immuno-psychiatrie de l’hôpital Mondor et la plateforme I2MC.

 

 

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